Guillaume Petit, trajectoire des lignes pures
Guillaume Petit vient d’inaugurer à Nîmes, au rez-de-chaussée d’un hôtel particuliers de la place d’Assas, un second flagship d’Unpolished Design Club après s’être installé il y a trois ans dans l’ancien séminaire d’Uzès.
S’installer dans ces lieux d’exception relève d’un choix radical. D’une intuition. Ce sera là qu’il conceptualisera « l’expression d’un point de vue, une façon d’être, de vivre et d’habiter le sud ».
Avec UDC, Guillaume Petit élabore sa ligne éditoriale et place le design sous le signe de la collaboration.
Le Club, ouvre un espace de rencontre pour les designers et les contributeurs. « Ce partage est essentiel à la création. UDC a une ligne éditoriale, mais les points de vue différents amènent la surprise. »
UDC, les créateurs
Certains créateurs présents chez UDC appartiennent au réseau professionnel de Guillaume. D’autres, des rencontres, des découvertes. Les créations de Verner Panton y côtoient les oeuvres des peintres 100Drine et Dom Labreuil installés en Uzège. S’y trouvent des pièces uniques, comme les coussins de Raphaële Malbec – qui habite la région –, les luminaires et objets de Guillaume Delvigne, grand prix de la Création de la ville de Paris (2011), qui travaille avec de grandes maisons françaises comme Hermès et Givenchy. Bea Mombears, figure de l’art et du design belge qui vient régulièrement se ressourcer dans sa maison du sud de la France est présente à côté de l’Italien d’Antonino Sciortino, artisan de l’épure et du fer.
Pour Via Domus, UDC donne carte blanche à Raphaële Malbec et à sa belle-fille Natasha Dakhli.